L’iridologie est une méthode très ancienne
remontant à la plus haute Antiquité, utilisée en Chaldée, Mésopotamie, Egypte,
Grèce, Inde et
Chine. C'est un médecin hongrois Ignatz von Peczely qui publiera en 1880 la première cartographie.
La couleur de l’iris (partie colorée de l’œil, bleue, marron, verte…) peut déjà nous donner des indications quant au mode de fonctionnement des individus, au terrain, au métabolisme, bref à la façon de réagir de l’organisme.
L’iris est une véritable cartographie des organes
et de tous les systèmes de l’organisme (respiratoire, cardiovasculaire, digestif, hormonal, nerveux, ostéoarticulaire, sanguin, lymphatique).
Les modifications du milieu (surcharge, acidification…) sont visibles tout comme l’énergie disponible.
Il s’agit d’une évaluation de la force vitale, de l’état de fatigue actuel, des prédispositions, de l’inné et de l’acquis.
Par exemple, une décoloration de la couleur de l'iris signifie une acidification de l'organisme souvent associée à une déminéralisation. Lorsque la zone circulaire la plus éloignée du centre de l'iris est un peu floue, cela marque un mauvais retour veineux. Quant aux anneaux de spasme "cercles blancs et fins dans l'iris", très souvent visibles, parfois même à l'oeil nu, ils reflètent une hypersollicitation du système nerveux.